Acte deuxième

 
La kermesse.
 

Scène première

Une des portes de la ville. À gauche un cabaret à l’enseigne du dieu Bacchus.
Wagner, Ètudiants, Bourgeois, Soldats, Jeunes filles, Matrones.

 Q 

Wagner, Étudiants, Bourgeois, Soldats, Jeunes filles, Matrones, Un mendiant

 
[N. 5 - Chœur]

 N 

 

WAGNER, ÉTUDIANTS

Vin ou bière,  

bière ou vin,

que mon verre

soit plein !

Sans vergogne,

coup sur coup,

un ivrogne

boit tout !

Jeune adepte

du tonneau,

n’en excepte

que l’eau !

Que ta gloire,

tes amours

soient de boire

toujours !

 

ÉTUDIANTS

Jeune adepte

etc.

(Ils trinquent et boivent.)

 

SOLDATS

Filles ou forteresses

c’est tout un, morbleu !

Vieux burgs, jeunes maîtresses,

sont pour nous un jeu !

Celui qui sait s’y prendre

sans trop de façon

les oblige à se rendre

en payant rançon !

 

BOURGEOIS

Aux jours de dimanche et de fête,

j’aime à parler guerre et combats,

tandis que les peuples là-bas

se cassent la tête.

Je vais m’asseoir sur les côteaux

qui sont voisins de la rivière,

et je vois passer les bateaux

en vidant mon verre !

 
(Bourgeois et soldats remontent vers le fond du thèâtre.)
 

UN MENDIANT

(circulant de groupe en groupe)

Mes beaux messiers, mes belles dames,

que la pitié touche vos âmes;

et que votre folle gaité

sur moi retombe en charité.

 
(Un groupe de jeunes filles entre en scène.)
 

JEUNES FILLES

(regardant de côté)

Voyez ces hardis compères

qui viennent là-bas;

ne soyons pas trop sévères,

retardons le pas.

 
(Elles gagnent la droite du thèâtre. Un secon chœur d'étudiants entre à leur suite.)
 

ÉTUDIANTS

Voyez ces mines gaillardes

et ces airs vainqueurs !

Amis, soyons sur nos gardes !

Tenons bien nos cœurs !

MATRONES

(observant les étudiants et les jeunes filles)

Voyez après ces donzelles

courir ces messieurs !

Nous sommes aussi bien qu’elles

sinon beaucoup mieux !

LE MENDIANT

Mes beaux messiers, mes belles dames,

que la pitié touche vos âmes !

Et que votre folle gaité

sur moi retombe en charité !...

 
(Tous les groupes redescendente en scène.)
 

ÉTUDIANTS

Vin ou bière,

bière ou vin,

que mon verre

soit plein !

BOURGEOIS

Vidons un verre

de ce bon vin !

JEUNES FILLES

De votre colère

nous ne craignons rien !

Ensemble

SOLDATS

Pas de beauté fière !

Nous savons leur plaire

en un tour de main !

MATRONES
(aux jeunes filles)

Vous voulez leur plaire,

nous le voyon bien !

ÉTUDIANTS

Voyez leur colère,

voyez leur maintien !

 
(Les étudiants et les soldats séparent les femmes en riant. Tous les groupes s'éloignent et disparaissent.)

Bourgeois, Soldats, Jeunes filles, Matrones, Un mendiant ->

 

Scène deuxième

Wagner, Siébel, Étudiants, Valentin.

<- Valentin, Siébel

 
[N. 6 - Scène et Récitatif]

 N 

 

VALENTIN

(paraissant au fond; il tient une petite médaille à la main)  

Ô toi, sainte médaille,

qui me viens de ma sœur,

au jour de la bataille,

pour écarter la mort, reste là sur mon cœur !

WAGNER

Ah ! Voici Valentin qui nous cherche sans doute !

VALENTIN

Un dernier coup, messieurs, et mettons-nous en route !

WAGNER

Qu’as-tu donc ?... quels regrets attristent nos adieux ?

VALENTIN

Comme vous, pour longtemps, je vais quitter ces lieux;

j’y laisse Marguerite, et, pour veiller sur elle,

ma mère n’est plus là !

SIÉBEL

Plus d’un ami fidèle

saura te remplacer à ses côtés !

VALENTIN

Merci !

SIÉBEL

Sur moi tu peux compter.

ÉTUDIANTS

Compte sur nous aussi !

 

WAGNER

Allons, amis ! point de vaines alarmes !  

À ce bon vin ne mêlons pas des larmes !

Buvons, trinquons, et qu’un joyeux refrain

nous mette en train !

ÉTUDIANTS

Buvons, trinquons, et qu’un joyeux refrain

nous mette en train !

WAGNER

(montant sur un escabeau)

Un rat plus poltron que brave,

et plus laid que beau,

logeait au fond d’une cave,

sous un vieux tonneau;

un chat...

 

Scène troisième

Les mêmes, Méphistophélès.

<- Méphistophélès

 

MÉPHISTOPHÉLÈS

(paraissant tout à coup au milieu des étudiants et intertrompant Wagner)  

Pardon !

WAGNER

Hein !

MÉPHISTOPHÉLÈS

Parmi vous, de grâce,

permettez-moi de prendre place !

Que votre ami d’abord achève sa chanson !

Moi, je vous en promets plusieurs de ma façon !

WAGNER

(descendant de son escabeau)

Une seule suffit, pourvu qu’elle soit bonne !

MÉPHISTOPHÉLÈS

Je ferai de mon mieux pour n’ennuyer personne !

 
(Les étudiants se groupent autour de Méphistophélès; Valentin le regarde avec défiance et se tient à l’écart avec Siébel.)
 
[N. 7 - Ronde du veau d’or]

 N 

 

I  

Le veau d’or est toujours debout;

on encense

sa puissance

d’un bout du monde à l’autre bout !

Pour fêter l’infâme idole,

rois et peuples confondus,

au bruit sombre des écus,

dansent une ronde folle

autour de son piédestal !...

Et Satan conduit le bal !

II

Le veau d’or est vainqueur des dieux !

Dans sa gloire

dérisoire

son front abjecte insulte aux cieux !

Il contemple, ô rage étrange !

à ses pieds le genre humain

se ruant, le fer en main,

dans le sang et dans la fange

où brille l’ardent métal !...

Et Satan conduit le bal !

Sfondo schermo () ()

 

TOUS

Et Satan conduit le bal !

 
[N. 8 - Récitatif et Choral des épées]

 N 

 

ÉTUDIANTS

Merci de ta chanson !  

VALENTIN
(à part)

Singulier personnage !

WAGNER

(tendant un verre à Méphistophélès)

Nous ferez-vous l’honneur de trinquer avec nous ?

MÉPHISTOPHÉLÈS

Volontiers !...

(saisissant la main de Wagner et l’examinant)

Ah ! voici qui m’attriste pour vous !

Vous voyez cette ligne ?

WAGNER

Eh bien ?

MÉPHISTOPHÉLÈS

Fâcheux présage !

Vous vous ferez tuer en montant à l’assaut !

(Wagner retire sa main avec humeur.)

SIÉBEL

Vous êtes donc sorcier ?

MÉPHISTOPHÉLÈS

(lui prenant la main)

Tout juste autant qu’il faut

pour lire dans ta main que le sorte te condamne

à ne plus toucher une fleur

sans qu’elle se fane !

SIÉBEL

(retirant vivement sa main)

Moi !

MÉPHISTOPHÉLÈS

Plus de bouquets à Marguerite !...

VALENTIN

Ma sœur !...

Qui vous a dit son nom ?

MÉPHISTOPHÉLÈS

Prenez garde, mon brave !

Vous vous ferez tuer par quelqu’un que je sais !

(Prenant le verre des mains de Wagner.)

À votre santé !...

(Jetant le contenu du verre, après y avoir trempé ses lèvres.)

Peuh ! que ton vin est mauvais !

Permettez-moi de vous en offrir de ma cave !

(Frappant sur le tonneau, surmonté d’un Bacchus, qui sert d’enseigne au cabaret.)

Holà, seigneur Bacchus ! à boire !...

(Le vin jaillit du tonneau. Aux étudiants)

Approchez-vous !

Chacun sera servi selon ses goûts !

À la santé que tout à l’heure

vous portiez, mes amis, à Marguerite !...

VALENTIN

(lui arrachant le verre des mains)

Assez !...

Si je ne te fais taire à l’instant, que je meure !

 
(Le vin s’enflamme dans la vasque placée au-dessous du tonneau.)
 

WAGNER, ÉTUDIANTS

Holà !...

(Ils tirent leurs épées.)

MÉPHISTOPHÉLÈS

Pourquoi trembler, vous qui me menacez ?

(Il trace un cercle autour de lui avec son épée. Valentin s’avance pour l’attaquer. Son épée se brise.)

VALENTIN

Mon fer, ô surprise !

dans les airs se brise !

 

VALENTIN, WAGNER, SIÉBEL, ÉTUDIANTS

De l’enfer qui vient émousser  

nos armes,

nous ne pouvons pas repousser

les charmes !

Mais puisque tu brises le fer,

regarde !...

 
(Il prend son épée par la lame et la présente sous forme de croix à Méphistophélès.)
 

SIÉBEL, VALENTIN, WAGNER, ÉTUDIANTS

(forçant Méphistophélès à reculer en lui présentant la garde de leurs epées)

Puisque tu peux briser le fer,

regarde !

C’est une croix, qui de l’enfer

nous garde !...

 
(Ils sortent.)

Valentin, Wagner, Siébel, Étudiants ->

 

Scène quatrième

Méphistophélès, puis Faust.

 

MÉPHISTOPHÉLÈS

(remettant son épée au fourreau)  

Nous nous retrouverons, mes amis ! ~ Serviteur !

 

FAUST

(entrant en scène)  

Qu’as-tu donc ?

<- Faust

MÉPHISTOPHÉLÈS

Rien ! ~ À nous deux, cher docteur !

Qu’attendez-vous de moi ? Par où commencerai-je ?

FAUST

Où se cache la belle enfant

que ton art m’a fait voir ? ~ Est-ce un vain sortilège ?

MÉPHISTOPHÉLÈS

Non pas, mais contre nous sa vertu la protège;

et le ciel même la défend !

FAUST

Qu’importe ? je le veux ! viens ! conduis-moi près d’elle

ou je me sépare de toi !

MÉPHISTOPHÉLÈS

Il suffit !... Je tiens trop à mon nouvelle emploi

pour vous laisser douter un instant de mon zèle !

Attendons !... ici même, à ce signal joyeux,

la belle et chaste enfant va paraître à vos yeux.

 
(Les étudiants et les jeunes filles, bras dessus, bras dessous, et précédés par des joueurs de violon, envahissent la scène. Ils sont suivis par les bourgeois qui ont paru au commencement de l'acte.)
 

Scène cinquième

Les mêmes, Étudiants, Jeunes filles, Bourgeois, puis Siébel et Marguerite.

<- Étudiants, Jeunes filles, Bourgeois

 
[N. 9 - Valse et Chœur]

 N 

 

CHŒUR

(marquant la mesure en marchant)  

Ainsi que la brise légère

soulève en épais tourbillons

la poussière

des sillons,

que la valse nous entraîne !

Faisons retentir la plaine

de l’éclat de vos chansons !

Valsons !...

 
(Les musiciens montent sur les bancs; la valse commence.)
 

MÉPHISTOPHÉLÈS
(à Faust)

Vois ces filles

gentilles !

Ne veux-tu pas

aux plus belles

d’entre elles

offrir ton bras ?

FAUST

Non ! Fais trêve

à ce ton moqueur !

Et laisse mon cœur

à son rêve !...

 

SIÉBEL

(entrant)

C’est par ici que doit passer Marguerite !

<- Siébel

QUELQUES JEUNES FILLES

(s’approchant de Siébel)

Faut-il qu’une jeune fille à danser

vous invite ?

SIÉBEL

Non !... non !... je ne veux pas valser !

 

CHŒUR

Ainsi que la brise légère

soulève en épais tourbillons

la poussière

des sillons,

que la valse nous entraîne !

Faisons retentir la plaine

de l’éclat de vos chansons !

Valsons !...

 
(Marguerite paraît.)

<- Marguerite

 

FAUST

Ah !... la voici ! c’est elle !

MÉPHISTOPHÉLÈS

Eh bien ! Abordez-la !

SIÉBEL

(apercevant Marguerite et faisant un pas vers elle)

Marguerite !...

MÉPHISTOPHÉLÈS

(se retournant et se trouvant face à face avec Siébel)

Plaît-il !...

SIÉBEL
(à part)

Maudit homme ! encor là !...

MÉPHISTOPHÉLÈS
(d'un ton mielleux)

Eh quoi ! mon ami ! vous voilà !...

 
(Siébel recule devant Méphistophélès, qui lui fait faire ainsi le tour du thèâtre en passant derrière le groupe des danseurs.)
 

FAUST

(abordant Marguerite qui traverse la scène)

Ne permettrez vous pas, ma belle demoiselle,

qu’on vous offre le bras pour faire le chemin ?

MARGUERITE

Non, monsieur ! je ne suis demoiselle, ni belle,

et je n’ai pas besoin qu’on me donne la main !

(Elle passe devant Faust et s’éloigne.)

FAUST

(le suivant des yeux)

Par le ciel ! que de grâce... et quelle modestie !...

Ô belle enfant, je t’aime !

SIÉBEL

(redescendant en scène sans avoir vu ce qui vient de passer)

Elle est partie !...

(Il va pour s'elancer sur la trace de Marguerite; mais, se trouvant de nouveau à face avec Méphistophélès, il lui tourne le dos et s’éloigne par le fond du thèâtre.)

MÉPHISTOPHÉLÈS
(à Faust)

Eh bien ?

FAUST

On me repousse !...

MÉPHISTOPHÉLÈS
(en riant)

Allons ! à tes amours,

je qu'il faut prêter secours !...

(Il s'éloigne avec Faust du même côté que Marguerite.)

QUELQUES JEUNES FILLES

(s'adressant à trois ou quatre d'entre elles qui ont observé la rencontre de Faust et de Marguerite)

Qu’est-ce donc ?...

DEUXIÈME GROUPE DE JEUNES FILLES

Marguerite,

qui de ce beau seigneur refuse la conduite !...

ÉTUDIANTS

(se rapprochant)

Valsons encor !...

JEUNES FILLES

Valsons toujours !...

 
(Les étudiants, qui ont reconduit Valentin et Wagner, rentrent en scène et se mèlent à la valse.)

<- Valentin, Wagner

 

LES VALSEURS

Ainsi que la brise légère

soulève en épais tourbillons

la poussière

des sillons,

que la valse nous entraîne !

Faisons retentir la plaine

de l’éclat de vos chansons !

Valsons !...

Jusqu’à perdre haleine !...

jusqu’à mourir !...

je respire à peine !...

Ah !... quel... plaisir !...

Mon regard se noie...

dans le... ciel bleu !...

La terre tournoie !...

je meurs... Ah !... dieu !...

Jusqu'à perdre haleine !...

jusqu’à mourir !...

je respire à peine !...

Ah ! quel plaisir !...

 

BOURGEOIS

Ainsi que la brise légère

soulève en épais tourbillons

la poussière

des sillons,

que la valse vous entraîne !

Faites retentir la plaine

de bruit de vos folles chansons !

Jusqu’à perdre haleine,

jusqu’à mourir,

un dieu les entraîne,

c’est le plaisir !

La terre tournoie,

et fuit loin d’eux !

Quel bruit, quelle joie

dans tous les yeux !

Jusqu’à perdre haleine

jusqu’à mourir,

un dieu les entraîne,

c’est le plaisir !...

 
(La toile tombe.)
 

Scène troisième (supplement)

Supplement par Charles Gounod.

 
Invocation
 

VALENTIN

Avant de quitter ces lieux,  

sol natal de mes aïeux,

à toi, seigneur et roi des cieux,

ma sœur je confie;

daigne de tout danger

toujours la protéger,

cette sœur si chérie.

Délivré d’une triste pensée,

j’irai chercher la gloire au sein des ennemis.

Le premier, le plus brave au fort de la mêlée,

j’irai combattre pour mon pays.

Et si, vers lui, dieu me rappelle,

je veillerai sur toi fidèle,

ô Marguerite.

Avant de quitter ces lieux,

sol natal de mes aïeux,

à toi, seigneur et roi des cieux,

ma sœur je confie !

Ô roi des cieux, jette les yeux,

protège Marguerite, roi des cieux !

 

Fin (Acte deuxième)

Acte premier Acte deuxième Acte troisième Acte quatrième Acte cinquième

Une des portes de la ville. À gauche un cabaret à l’enseigne du dieu Bacchus

Wagner, Étudiants, Bourgeois, Soldats, Jeunes filles, Matrones, Un mendiant
 

[N. 5 - Chœur]

Wagner, Étudiants, Soldats, Bourgeois, Un mendiant, Jeunes filles, Matrones
Vin ou bière
Wagner, Étudiants
Bourgeois, Soldats, Jeunes filles, Matrones, Un mendiant ->
Wagner, Étudiants
<- Valentin, Siébel

[N. 6 - Scène et Récitatif]

Ô toi, sainte médaille

Allons, amis ! point de vaines alarmes !

Wagner, Étudiants, Valentin, Siébel
<- Méphistophélès

Pardon ! / Hein ! / Parmi vous, de grâce

[N. 7 - Ronde du veau d’or]

[N. 8 - Récitatif et Choral des épées]

Merci de ta chanson ! / Singulier personnage !

Valentin, Wagner, Siébel, Étudiants
De l’enfer qui vient émousser
Méphistophélès
Valentin, Wagner, Siébel, Étudiants ->

Nous nous retrouverons, mes amis ! ~ Serviteur !

Méphistophélès
<- Faust

Qu’as-tu donc ? / Rien ! ~ À nous deux, cher docteur !

Méphistophélès, Faust
<- Étudiants, Jeunes filles, Bourgeois

[N. 9 - Valse et Chœur]

Chœur, Méphistophélès, Faust, Siébel, Jeunes filles, Marguerite, Valentin, Wagner, Bourgeois
Ainsi que la brise légère
Méphistophélès, Faust, Étudiants, Jeunes filles, Bourgeois
<- Siébel
 
Méphistophélès, Faust, Étudiants, Jeunes filles, Bourgeois, Siébel
<- Marguerite
 
Méphistophélès, Faust, Étudiants, Jeunes filles, Bourgeois, Siébel, Marguerite
<- Valentin, Wagner
 
 
Scène première Scène deuxième Scène troisième Scène quatrième Scène cinquième Scène troisième (supplement)
Le cabinet de Faust. Une des portes de la ville. À gauche un cabaret à l’enseigne du dieu Bacchus Le jardin de Marguerite. Au fond, un mur percé d’une petite porte. À gauche, un bosquet. À droite,... La chambre de Marguerite L’église. Une rue; à gauche, la maison de Marguerite. Les montagnes du Harz. Un vaste palais resplendissant d’or. La vallée du Brocken. La prison.
[N. 1 - Introduction] [N. 2 - Scène et Chœur] [N. 3 - Récitatif] [N. 4 - Duo] [N. 5 - Chœur] [N. 6 - Scène et Récitatif] [N. 7 - Ronde du veau d’or] [N. 8 - Récitatif et Choral des épées] [N. 9 - Valse et Chœur] [N. 10 - Entracte et Couplets] [N. 11 - Récitatif] [N. 12 - Scène et Cavatine] [N. 13 - Récitatif] [N. 14 Scène et Air] [N. 15 - Récitatif] [N. 16 Quatuor] [N. 17 - Récitatif] [N. 18 - Duo] [N. 19 - Marguerite au rouet] [N. 20 - Scène et Récitatif] [N. 21 - Scene de l’église] [N. 22 - Chœur des soldats] [N. 23 - Récitatif] [N. 24 - Sérénade] [N. 25 - Scène et Trio du duel] [N. 26 - Mort de Valentin] [N. 27 - La nuit de Walpurgis] [N. 28 - Scène et Chœur] [N. 29 - Chant bachique] [N. 30 - Scène de la prison] [N. 31 - Trio Finale] [N. 32 - Apothéose]
Acte premier Acte troisième Acte quatrième Acte cinquième

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