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Tarare

Nuages qui roulent, se déchirent, et laissent voir les Vents déchainés

(L'ouverture fait entendre un bruit violent dans les airs, un choc terrible de tous les éléments.)

C'est assez troubler l'univers

Une campagne superbe.

(Les Vents se précipitent dans les nuages inférieurs. Le Zéphir s'élève dans les airs. L'ouverture et le bruit s'appaisent par degrés; les nuages se dissipent; tout devient harmonieux et calme. On voit une campagne superbe, et le Génie du Feu descend dans un nuage brillant, du côté de l'orient.)

De l'orbe éclatant du soleil

(D'autres ombres dansent sur l'air du chœur)

Privés des doux liens qui donne la naissance

Un mot encor; c'est une ombre femelle

Que sont ces deux superbes ombres

Sois l'empereur Atar; despote de l'Asie

C'est assez. Èteignons an eux

(La Nature et le Génie du Feu s'élèvent dans les nuages, dont la masse redescend et couvre toute la scène.)

Locandina Prologue Scène première Scène deuxième Scène troisième Acte premier Scène première Scène deuxième Scène troisième Scène quatrième Scène cinquième Scène sixième Scène septième Scène huitième Acte deuxième Scène première Scène deuxième Scène troisième Scène quatrième Scène cinquième Scène sixième Scène septième Scène huitième Acte troisième Scène première Scène deuxième Scène troisième Scène quatrième Scène cinquième Scène sixième Scène septième Acte quatrième Scène première Scène deuxième Scène troisième Scène quatrième Scène cinquième Scène sixième Scène septième Scène huitième Acte cinquième Scène première Scène deuxième Scène troisième Scène quatrième Scène cinquième Scène sixième Scène septième Scène huitième Scène neuvième Scène dixième Je proposerais cette fin...